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La Fondation IFRS publie un article de Tom Scott, membre de l’IASB, sur le projet de recherche : Goodwill et dépréciation
Le 10 septembre 2019, la Fondation IFRS a publié un article de Tom Scott, membre de l’IASB, sur le projet de recherche : Goodwill et dépréciation.
Une meilleure information sur les regroupements d’entreprises - Goodwill et dépréciation
Suite à la revue post-application de la norme IFRS 3 Regroupements d’entreprises , le Board a lancé un projet de recherche sur le Goodwill et la Dépréciation.
Par le biais de ce projet, le Board étudie la manière dont les entités peuvent fournir aux utilisateurs des états financiers de meilleures informations sur les fusions et acquisitions (regroupements d’entreprises), et ce, à un coût raisonnable.
Ce projet se penche notamment sur la question de savoir comment les entités devraient comptabiliser le goodwill après le regroupement d’entreprises.
L’article énonce les points de vue préliminaires de l’IASB. Selon Tom Scott :
- l’IASB devrait renforcer les objectifs et les exigences en matière de divulgation d'informations afin d'améliorer les informations fournies aux utilisateurs sur une entreprise acquise et sa performance ultérieure, même si ces informations doivent être combinées lorsque l'entreprise acquise a été intégrée à une entreprise existante ;
- il est impossible d’améliorer l’efficacité du test de dépréciation pour comptabiliser les pertes de valeur du goodwill ;
- réintroduire l'amortissement du goodwill ne fournirait pas de meilleures informations aux utilisateurs ;
- l’IASB devrait réduire le coût et la complexité du test de dépréciation en allégeant le test de dépréciation quantitatif annuel obligatoire ;
- l’IASB devrait réduire le coût et la complexité du test de dépréciation en simplifiant certaines des dispositions relatives à l’estimation de la valeur d’utilité ;
- l’IASB ne devrait pas permettre à plus d’actifs incorporels d’être inclus dans le goodwill ; et
- l’IASB devrait renforcer la transparence en exigeant des entreprises qu’elles présentent, dans leurs bilans, le total des capitaux propres avant le goodwill.
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